Un virus transforme Londres en une ville fantôme et ses habitants en zombies.

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Un commando de la Protection Animale fait irruption dans un laboratoire top secret pour délivrer des dizaines de chimpanzés soumis à de terribles expériences. Mais aussitôt libérés, les primates, contaminés par un mystérieux virus et animés d'une rage incontrôlable, bondissent sur leurs "sauveurs" et les massacrent. 28 jours plus tard, le mal s'est répandu à une vitesse fulgurante à travers le pays, la population a été évacuée en masse et Londres n'est plus qu'une ville fantôme. Les rares rescapés se terrent pour échapper aux "Contaminés" assoiffés de violence. C'est dans ce contexte que Jim, un coursier, sort d'un profond coma...

Avec 28 days later, la réalisateur de Trainspotting Danny Boyle a conçu un film d'horreur moderne tout en évitant la tentation de tourner en dérision les clichés propres au genre, comme l'avaient fait avant lui les auteurs des parodiques Scream et autres Scary movies. 28 days later convainc grâce à la brillante description d'une ville industrielle infestée de zombies, le tout dans une ambiance apocalyptique, pour ensuite décevoir lorsque les protagonistes découvrent que le plus grand ennemi de l'Homme, est... l'Homme justement, avant de sombrer définitivement dans le ridicule avec un happy-end peu probable.